Oulan-Bator

Direction Oulan-Bator

Il est 7h40, le bus s’éloigne d’Oulan-Oude. Vers 11h20, nous arrivons à la frontière. Il faut d’abord passer devant des douaniers Russes puis ensuite devant les douaniers Mongols. Nous entrons en Mongolie trois heures plus tard. Quelques centaines de mètres plus loin, le bus s’arrête à un hôtel-restaurant. Ici certains habitants se transforment en banquiers, il est possible d’échanger les roubles Russes en tugriks Mongols.

Nous repartons une heure plus tard. Je découvre enfin le paysage mongol. Des montagnes puis des forêts et d’immenses plaines. J’ai envie de descendre, d’aller marcher dans la forêt et de chevaucher les immenses plaines. Si le bus tombe en panne tant mieux, je descends ! Je suis excité comme un gamin ! Je me sens bien ici, au milieu de ces paysages. Le ciel est bleu, le soleil brille et l’herbe est sèche : j’ai l’impression d’être en été ! De temps en temps, on peut voir au milieu de la plaine quelques maisons avec une clôture. Ça me fait mal au cœur de voir une clôture ici au beau milieu de la steppe.

Je regarde les autres passagers, ils semblent indifférents au paysage et certains dorment. Je ne sais pas comment ils peuvent dormir avec une vue pareille ! Moi, elle me fait oublier la fatigue et le siège inconfortable.

Soudain, le bus pile, je lève la tête, il y a une vache au milieu de la route. Elle se met à courir et heureusement sinon nous l’aurions percuté ! Cette fois, je suis vraiment dans un autre monde. Un peu plus loin, le bus s’arrête pour faire une pause toilettes.

Deux choix : un bâtiment avec des toilettes payantes ou bien des petites cabanes : les toilettes publiques (derrière le lampadaire) . La plupart des voyageurs vont aux toilettes publiques, moi aussi. Devant celles-ci, les odeurs sont très fortes et pour cause : les toilettes c’est juste un grand trou avec deux planches en bois sur le dessus!

Plus loin le bus s’arrête de nouveau, une dame monte. C’est une vendeuse, elle commence par vendre des cartes mobiles prépayées. Ensuite , elle expose sur les sièges des vêtements en cachemire. Elle s’improvise même mannequin en essayant les différents pulls. Les voyageurs achètent. Plus loin sur la route, nous déposerons la vendeuse ambulante.

L’autoroute est en piteux état, le bus est obligé de freiner régulièrement pour éviter les nids-de-poule. Nous arriverons à Oulan-Bator vers 21h30, je n’ai qu’une envie : rejoindre l’auberge de jeunesse, prendre une douche et dormir !


Arrivée à Oulan-Bator

À la sortie du bus, des chauffeurs de taxi cherchent des passagers. Je sais qu’à Oulan-Bator, il y a en majorité des particuliers qui jouent le rôle de taxi. Les arnaques sont fréquentes et il est recommandé de demander le prix avant de monter. Je suis à environ 7 km de l’auberge de jeunesse. Le prix moyen au km est de 1 000 MNT soit environ 33 cts. Un homme m’aborde, je lui demande son prix il me répond : 15 000 MNT. Je refuse son offre. Il me propose alors 10 000 MNT c’est un poil cher, mais j’accepte. J’ai juste envie d’être dans un bon lit !

Je mets mon sac dans la malle qui est fermé par une ficelle… Je monte devant, il n’y a pas de ceinture. Le chauffeur reste dehors, il semble chercher d’autres passagers, il est malin ! J’en profite pour sortir discrètement les 10 000 MNT de ma poche secrète. Au bout d’un moment deux hommes supplémentaires montent, nous partons. J’ai activé mon GPS, histoire de vérifier que le chauffeur a bien compris où est l’auberge de jeunesse. Les deux autres hommes parlent mongol avec le chauffeur. Bien évidemment, je ne comprends rien du tout !

Ensuite, le chauffeur essaie de communiquer avec moi. Il écrit 1 000 sur la calculatrice de son téléphone. Je pense que c’est le prix de la course qui a diminué. Je suis étonné et ne comprends pas. Il me remontre son téléphone, je fais « oui » de la tête et lui montre mes 10 000 MNT. Puis, un des passagers me tend un billet de 1 000, je l’observe et m’aperçois qu’il s’agit de roubles. Je commence à comprendre, il me demande 1 000 roubles soit 40 000 MNT (~14 €). Nous avions convenu que le trajet coûterait 10 000 MNT !

Le chauffeur et les deux passagers continuent à me demander les 1 000 roubles, je ne cède pas ! Soudain, je m’aperçois que la voiture change de direction. Nous avons fait demi-tour et nous nous éloignons de l’auberge. Je fais comprendre au chauffeur que je ne lui donnerai pas plus et s’il n’est pas content, je descends ! Il fait « non » de la tête. Les 3 hommes me parlent en mongol, je ne comprends rien. Le seul mot anglais qu’ils connaissent est « money »…

Comprenant la précarité de la situation, j’envisage de sortir du taxi. Seulement voilà, je ne peux pas abandonner mon gros sac à dos qui est dans le coffre. Donc pas question de sauter en marche, je vais devoir attendre un arrêt pour sortir et avoir le temps de récupérer mon sac. La voiture s’arrête à un feu, il y a d’autres voitures devant : c’est le bon moment ! J’essaie d’ouvrir la porte, la poignée est bloquée ! Impossible de fuir, je vais devoir ruser.

Je leur dis que je leur donnerai ce qu’ils demandent une fois arrivé à l’auberge. Ensuite, je leur dis que je n’ai pas d’autre argent sur moi. Ce qui est à moitié vrai. J’ai sur moi seulement 18 000 MNT et 200€. Il ne faut pas qu’ils voient où est mon argent, heureusement que j’avais sorti les 10 000 MNT avant le départ. De toute façon, je ne cautionne pas le banditisme, ils n’auront pas plus ! Je leur dis ensuite que j’ai de l’argent dans mon gros sac à dos. On n’apprend pas au vieux singe à faire la grimace, toutes mes tentatives échouent.

De leur côté, ils cherchent aussi à me duper. Le taxi s’arrête à une station-service, le chauffeur me demande cette fois mes 10 000 MNT. Je lui dis qu’il les aura quand je serai à l’auberge ! Il y a un pompiste, je lui fais signe de venir m’ouvrir en disant « Help ! Help! ». Il me regarde un peu surpris, mais sans bouger. Le chauffeur lui parle, je pense qu’il lui a dit quelque chose comme « C’est bon t’inquiètes » ou « Il fait l’idiot ». Je ne parle pas mongol, je suis impuissant…

Voyant que je ne donne aucun argent, le chauffeur démarre brusquement et va se garer un peu plus loin sur un parking. Nous avons quitté la rue principale et son trafic, je commence à être inquiet. Le ton monte et le taxi redémarre. Je leur dis que je vais appeler la police. J’essaie d’appeler le numéro d’urgence (112) mais ça ne marche pas.

La voiture s’arrête de nouveau dans un parking sombre. Je dois impérativement sortir ! Je réfléchis. Si j’ouvre la vitre, je pourrais ouvrir la portière. Je cherche la commande de la vitre électrique. Toutes les vitres de la voiture sont commandées par des boutons placés à gauche du conducteur. Même si j’arrivai à appuyer sur le bouton, le conducteur aurait le temps de fermer la vitre avant que j’aie ouvert la porte. Et puis, je sais que je dois absolument réussir ma première tentative d’évasion, car sinon je prendrai l’effet de surprise et les 3 hommes pourraient m’immobiliser.

Autre idée : sortir par la porte conducteur. Le problème c’est que le chauffeur est assez gros. De plus, j’ai sur moi un petit sac avec ma gourde, un peu de nourriture et d’autres objets. Aurais-je la place de passer ? Serais-je assez rapide pour que le chauffeur ne puisse pas me retenir ? Je ne pense pas.

Je pense aussi à sortir par une des portes arrière. Mais il faudrait trouver une bonne excuse pour justifier le fait d’aller à l’arrière avec les 2 hommes. Et si je change de place, ils vont se méfier…

Je réfléchis à la vitesse de la lumière. Je semble condamné dans cette voiture. Il n’y a quasiment personne dehors. J’ai peur que les hommes essayent de m’agresser. Si c’est le cas, il sera difficile de me défendre contre 3 hommes surtout que je suis coincé dans un endroit restreint.

Le ton monte de plus en plus, ils commencent à me toucher. Il y a danger ! Le taxi redémarre. Je vois que nous sommes presque revenus au point de départ. Soudain, je vois un bus arrêté avec des gens autour. C’est maintenant ou jamais. Seule option : attirer l’attention!

Le taxi s’arrête brièvement. Il faut d’abord que je sois sûr que le véhicule ne pourra pas redémarrer avant d’attirer l’attention. Je me jette sur la clé et essaye de la retirer. Je n’y arrive pas !

Tant pis, vite je cherche le klaxon. Il ne marche pas ! Je regarde les passants et je leur crie « help ! ». Les malfaiteurs savent maintenant que j’essaye d’attirer l’attention. Je ne m’arrête pas, je mets des grands coups de coude contre la vitre pour essayer de la casser. En même temps, j’empêche le chauffeur de redémarrer avec mes pieds. Soudain, la porte s’ouvre. Je ne sais si c’est un des voyous qui étaient à l’arrière ou un passant qui a ouvert la porte.

Peu importe, je me précipite vers le coffre. Je ne trouve pas comment défaire la corde. Rappelez-vous, le coffre est tenu par un bout de ficelle. Je dois faire vite, le chauffeur est toujours dans la voiture, elle peut redémarrer avec mon sac. Oh, ça y est, j’ai trouvé le nœud. Je défais la corde, je vais pouvoir récupérer mon sac. Brusquement, je suis tiré en arrière. Les malfaiteurs me retiennent. Je ne peux pas abonner mon sac il est juste à un mètre de moi. Soudain, je sens un instant de relâchement de la part des malfaiteurs. Je donne toute mon énergie, me libère et j’ouvre la malle. Je récupère mon sac, le pose par terre et m’assois dessus.

Dès l’instant où je suis sorti de la voiture, je n’ai pensé qu’à mon sac. Maintenant que j’ai toutes mes affaires, je regarde autour de moi. Il y a des plumes qui volent. Ma doudoune s’est déchirée. Il y a les trois hommes autour de moi. Je fais signe aux passants de venir. Je ne sais pas pourquoi mais certains regardent la scène avec méfiance. Finalement, une jeune et son copain viennent. Ils ne parlent pas anglais, je lui demande avec mon traducteur d’appeler la police. Elle regarde son copain avec hésitation. Puis me dit que c’est à moi de je faire, je n’y arrive pas! J’essaye d’appeler l’auberge. On me répond, un chauffeur va venir me chercher. Je réessaye quand même d’appeler la police. En effet, les 3 hommes sont toujours autour de moi. Au bout de plusieurs tentatives, je réussis à joindre la police.

On me répond en mongol, l’officier ne parle pas anglais. Je suis transféré vers une personne qui parle anglais. J’explique mon problème. Soudain, une voiture de police arrive. L’ officier au téléphone me demande que je lui passe les policiers. En effet, ces 2 policiers ne parlent pas anglais. Quand on me rend le téléphone, mon interlocuteur me dit que je dois suivre les policiers au commissariat. Je m’inquiète du fait que les 3 malfrats ne semblent pas gênés par la police. Avant de monter dans la voiture de police, je fais signe à un des officiers de venir constater que la poignée du taxi était défectueuse. En route pour le commissariat, je rappelle l’auberge et explique que je vais au commissariat. Dans la voiture, un officier contrôle mon passeport.

Arrivé au commissariat, on me demande d’attendre. Il y a déjà les 3 voyous. Un des malfrats me parle à distance avec des gestes. Apparemment, j’aurais cassé son pare prise en essayant de sortir et il veut que je paye pour celui-ci. Il hausse les épaules et lève les bras l’air de dire « mais pourquoi tu as fait ça ? ». De toute évidence, il ment aux policiers. Je me contente de le fixer dans les yeux jusqu’à ce qu’il tourne le regard. J’essaye d’appeler l’ambassade de France, les bureaux sont fermés…

Un homme rentre et discute avec les malfrats. Puis son téléphone sonne, il vient vers moi et me le tend. Au bout du fil, c’est le responsable de l’auberge, il me dit que c’est son chauffeur qui est juste devant moi, il va me raccompagner à l’auberge. Le chauffeur discute avec les policiers. Ceux-ci me demandent mon nom et mon prénom. Le chauffeur me repasse son téléphone. Le dirigeant de l’auberge m’explique qu’il a appelé son avocat et que j’ai deux choix. Soit je décide de porter plainte et dans ce cas je serai bloqué à Oulan-Bator le temps du procès (plus d’un mois). L’autre option est que je fasse une lettre expliquant que je n’ai plus de problèmes avec ces 3 personnes et que nous allons chacun rentrer de notre côté.

Je me méfie, je ne veux pas que cette lettre soit utilisée contre moi. Mais c’est le seul moyen de rentrer rapidement à l’auberge, je fais confiance à mon interlocuteur et rédige la lettre. Une dizaine de minutes plus tard les 3 hommes, mon nouveau chauffeur et moi-même sortons. Un des malfrats essayera de me serrer la main, je garderai mes distances. Le chauffeur de l’auberge est très gentil. J’arrive à l’auberge de jeunesse il est 00h. Je prends ma douche et me couche.

Le lendemain, je rencontre la personne que j’ai eue au téléphone. Il m’explique que les hommes voulaient porter plainte contre moi car j’aurais fissuré leur pare-brise ! Il a alors appelé son avocat. Celui-ci a appelé le responsable du commissariat, je n’ai pas eu de problèmes.

Heureusement que la veille j’avais appelé l’auberge, sans quoi j’aurais sûrement passé la nuit au poste en attendant un traducteur…

Voilà ma première expérience de la Mongolie. Pas très agréable, mais ça fait partie du voyage. J’ai peut être-perdu ma doudoune mais les malfaiteurs n’ont pas eu un centime de ma part juste un pare-brise fissuré!


Visite d’Oulan-Bator

Je dois aller rencontrer mon contact non loin de l’auberge. Ah oui, mon but en Mongolie c’est d’aller vivre avec une famille de nomades. J’ai trouvé une personne qui permet de vivre cette expérience grâce au site Workaway. En échange de mon aide dans leurs activités quotidiennes, je serai nourri et logé (sous une yourte !).

En sortant de l’auberge, je suis un peu parano, je me méfie des Mongols. Je rencontre comme prévu mon contact. À mon grand soulagement, c’est une personne gentille et honnête. Cet homme se nomme Bayaraa.  Il est ici à Oulan-Bator en vacances avec ces enfants et rentra chez lui lundi. Du coup, il me propose de faire le trajet avec lui. J’irai vivre dans une yourte avec la famille de sa belle-sœur.

Je passe la journée du lendemain à faire du shopping. En effet, je dois trouver une nouvelle doudoune. Je vais aussi au bureau de l’immigration. Je dois effectuer une extension de mon visa pour pouvoir rester 2 mois en Mongolie. L’extension me coûte environ 40€. Je remplis un formulaire et fais une lettre en Anglais. À ma grande surprise, on me demande de revenir dans 5 jours pour récupérer mon visa ! Seulement voilà, dans 5 jours je serai au beau milieu de la steppe !

J’avais lu sur différents sites internet que l’extension était faite le jour même. Je demande s’il y a un moyen de récupérer mon visa plus tôt. Gentiment, l’officier me dit de revenir dans le lendemain. Mais il y a un problème quand je me présente le lendemain. Par ce que  sur le bon qui m’a été donné il est écris que la date de retrait est dans 4 jours. J’explique que le précédent officier a gentiment accéléré la procédure. L’officier devant moi me rétorque en anglais : « Alors parce que vous avez des projets personnels, nous devons travailler plus vite ? ». J’argumente très finement. Finalement on me remet mon passeport avec mon visa qui est désormais valable 60 jours !

Oulan-Bator est une ville assez polluée, la conduite y est archaïque et les rues principales sont jonchées de vendeurs ambulants. Ils vendent de tout, des fruits, des parfums haut de gamme, des bijoux, des lunettes, des cartes postales…

Je m’amuse à observer les voitures: il y a des volants à droite et à gauche. Pourtant ici on roule exclusivement à droite. Les Mongols conduisent de façon agressive, le klaxon est de rigueur! Le piéton n’a aucune priorité, même s’il traverse à un passage protégé. J’ai vu un jeune traverser sur un passage piéton, il est passé à 10 cm de se faire écraser… Par ailleurs, il y a un nombre impressionnant de voitures hybrides japonaises (notamment les Toyota Prius). Ces voitures « écolos » contrastent avec les 4×4 et leur gros moteur « V8 ». Le parc automobile est à l’image de la Mongolie : d’un côté il y a les plaines calmes et sauvages. De l’autre, il y a Oulan-Bator la capitale avec sa pollution et tout son remue-ménage.

Je me rends au monastère de Gandantegchinlin situé un peu à l’écart du centre-ville. Pour y aller, je traverse un quartier un peu atypique pour nous Européen. Ici, plus de goudron juste de la terre battue. Derrière les palissades, je distingue des yourtes et des petites cabanes en bois. Des quartiers comme ça il y en a des centaines aux abords d’Oulan-Bator. L’exode pousse les nomades vers la capitale. Ils y espèrent trouver un travail mieux payé et moins difficile. À voir le grand nombre de yourtes échouées. Pas sûr que tout le monde trouve son compte ici…

Le monastère est assez grand, il contient plusieurs temples. Les différents temples sont emplis d’une agréable odeur d’encens. Malgré le nombre de visiteurs, il règne ici une certaine sérénité. J’observe des gens agglutinés autour d’un vieux poteau en bois. Ils le touchent, je fais de même cela doit porter chance.

J’entre dans un temple sans savoir à quoi m’attendre. Je suis alors surpris de voir une immense statue qui occupe l’espace central. Elle est gigantesque, elle mesure plus de 26 mètres de haut ! Autour de la statue, certains prient pendant que d’autres font tourner les moulins à prières.

À Oulan-Bator, il y a un autre lieu à ne pas manquer : c’est la place Gengis Khan. Cette grande esplanade est le domicile de deux héros nationaux. Au centre, il y a la statue de Sükhbaatar à qui on devra l’indépendance de la Mongolie en 1921. Jusque-là, la Mongolie était sous domination chinoise.

On trouve la deuxième statue devant le palais du gouvernement qui trône face à la place. C’est celle du conquérant Gengis Khan, fierté du peuple mongol.

 

Il est maintenant temps pour moi de rejoindre le côté sauvage de la Mongolie. En effet, si je suis venue ici c’est pour goûter aux grands espaces. Et si vous ne le savez pas, la Mongolie est le pays avec la plus faible densité de population au monde : 1,94 hab./km2.

Il ne me reste plus que 800 km à parcourir à bord d’un 4×4 et ce sera la fin de mon voyage. Fin du voyage mais aussi début l’aventure avec les nomades de Mongolie !

Bien évidemment, pas de WIFI dans la steppe. Je compte y rester environ un mois. Promis, je vous raconterai cette expérience quand je serai de retour à la civilisation!

8 réponses sur “Oulan-Bator”

  1. Timothée tu nous donnes des sueurs froides !
    J’étais tordu sur ma chaise en te lisant.
    J’imagine tes parents…. ( ça va toujours les parents ? je les salue au passage…..)…. et tes grands parents !!!
    Que ce soit à Boudha , à Vishnou, à Jésus ou à un poteau sacré…n’oublie pas tes prières !
    Allez courage !!
    Bien affectueusement !!

    Jean-Marc

  2. Salut Timothée, Je suis impressionné… tu vas pouvoir faire un roman à ton retour! Je suis touché par ton expérience! Je pense à Toi tous les jours. Bises de Philippe

  3. Les Fabre te suivent Timothée!! Tellement de bonheur, de plaisir à te lire, à voyager avec toi, mais à trembler aussi!!! Nous sommes admiratifs de ce projet que tu réalises , qui te tient tant à coeur et que tu nous partages avec un immense talent!! Nous te faisons confiance pour continuer à profiter de chaque instant! Nous allons être patients mais avouons quand même être impatients de lire la suite!! Bisou Timothée, tes parents peuvent être fiers de toi!!

  4. Bonjour Timothée,
    Nous suivons avec plaisir ton aventure qui nous fait sourire et parfois aussi frémir….
    Profite bien de ton expédition dans la steppe avec j’espère de belles rencontres.
    En attendant d’avoir la suite de tes aventures nous t’embrassons

  5. Timothée, tu nous partages ton voyage, tes découvertes et tes aventures avec beaucoup de brio! Quel plaisir de te lire et de te suivre. On s’émerveille avec toi et on frémit aussi. On attend la suite avec beaucoup d’impatience. Nous te souhaitons encore plein de rencontres et de découvertes. Et un grand merci de les partager! Bises

  6. bonsoir Thimotée , nous venons de prendre connaissance de tes récits . C est déjà une expérience inoubliable . continue à être méfiant et malin lors des transports. Nous pensons bien à toi .Jacqueline et joseph

  7. C’est au travers d’expériences comme la tienne que l’on trace son chemin, celui de la vie… Les échanges vers d’autres mode de vie ne peuvent être qu’enrichissants !
    Profites bien de ces moments très intenses !

  8. Après lecture tardive de ce périple à l’arrivée les Marchetti te souhaite un très bon séjour Timothée, en te souhaitant plein de bonne choses pour la suite en province.
    Nous suivons tes Aventures …. Bon courage.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *